Mizui et…

Au Fil des rencontres

RENCONTRE AVEC ANDRÉ MALRAUX

Mizui aux jeux olympiques

À l’époque de Charles de Gaulle, le ministre d’État chargé des Affaires culturelles et grand connaisseur des arts, André Malraux, a visité le monument et a exprimé son admiration à Mizui.

André Malraux et Yasuo Mizui

RENCONTRE AVEC JEAN COCTEAU

Cocteau et Mizui

Jean Cocteau, Poète, dessinateur, cinéaste, remarquera la ligne épuré et le style unique de Mizui. Tout particulièrement son « Crapaud » et son travail d’épure.

Jean Cocteau et Yasuo Mizui

En1955, Mizui expose parmi quelques autres artistes japonais
à la galerie R.  Volney, près de l’Opéra.
Jean Cocteau marque ce ‘’crapaud’’ ,
il dit à Mizui ‘’ J’aime bien votre travail.’’

Depuis, au fil des ans, Jean Cocteau
a pris une place énorme dans le coeur de Mizui.

Le Crapaud

1955

(Terre cuite polie à la pierre à aiguiser – 50 cm)

Médaille de Commandeur des arts et des lettres de Yasuo Mizui

Mizui est ordonné « Commandeur des Arts et des Lettres », par le ministre de la culture, Jack Lang en 1985.

Une reconnaissance pour les nombreux monuments publics qu’il à créé en France.

À gauche : Mizui, sa première femme Kiyoko et Fenoza

Apel-les Fenoza

 

Leur rencontres et leur partages…

RENCONTRE AVEC FENOZA

Mizui partage sa passion avec le sculpteur Apel-les Fenoza

À partir de l’été 1954, il devient l’assistant du sculpteur espagnol Apelles Fénosa et le reste jusqu’en 1958. Mizui passe tous ses après-midis à l’atelier de Fenosa. Celui-ci lui demande de produire, dans l’attente de son arrivée à l’atelier, un petit modelage d’argile chaque jour. Cette expérience de labeur quotidien deviendra, pour Mizui, le ressort de sa création et de sa carrière. Il est invité à onze symposiums de sculpture dans divers pays, en Yougoslavie, Autriche, Israël, Grenoble, au Japon et en Tchécoslovaquie etc. En France, divers établissements publics lui demandent des sculptures au titre du 1 % artistique.

Fenosa avait un chat dans son atelier.
Mizui a réalisé cette sculpture intitulée « Le chat de Fenosa ».